28
Oct

NFC 15 100 EVOLUTIONS

Tour d’horizon des modifications de la norme (amendement 5).

Pourquoi avoir modifier une norme si emblématique ?

Notre habitat évolue et la norme doit en tenir compte en évoluant elle aussi.

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25
Oct

Nouveau Disjoncteur de branchement DisB de GE pour vos protections électriques

General Electric lance sa nouvelle gamme de disjoncteurs de branchement monophasés et triphasés, instantanés ou sélectifs pour le marché résidentiel français. Depuis plus de 10 ans, General Electric travaille en partenariat avec ERDF pour apporter des solutions de protection et de distribution électrique, notamment en ce qui concerne les Disjoncteurs de Branchement conforment à leur exigences techniques de fiabilité, de facilité d’installation et en adéquation avec les évolutions technologiques d’ERDF.

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23
Oct

Les artisans du bâtiment broient du noir

C’est dans un climat d’activité des TPE bien dégradé que l’Union professionnelle des artisans (UPA)a tiré la sonnette d’alarme en dévoilant ce jeudi 22 octobre lors de son congrès, baptisé le « Lab UPA ». Patrick Liébus, président de la Capeb, nous présente les trois priorités pour relancer le secteur.

Après avoir alerté en août dernier sur les difficultés des entreprises de l’artisanat et du commerce de proximité à embaucher au cours du premier semestre 2015, l’UPA dans sa dernière note conjoncture* publiée ce jeudi 22 octobre souligne que l’activité de l’artisanat notamment du bâtiment reste très dégradée.

Cette dernière étude dévoilée par l’UPA à l’occasion de son congrès, baptisé « Lab UPA » rejoint les dernières données de la Capeb présentées ces jours-ci. En, effet, son président Patrick Liébus pointait une baisse de l’activité de l’artisanat du bâtiment de l’ordre de -2.5% sur ce troisième trimestre 2015, avec une chute de 5% dans la construction neuve et un repli de 1% dans l’entretien-rénovation. « Seuls les travaux d’amélioration de la performance énergétique (APEL) affichent une progression de 1%, grâce notamment aux effets du Crédit d’impôt Transition énergétique », signalait-t-il avec une pointe d’amertume.

Même constat pour l’UPA : les TPE souffrent. « On observe bien que le secteur des travaux publics reste très affecté par les restrictions budgétaires des collectivités territoriales et concentre à nouveau les plus grandes difficultés (-6% au troisième trimestre) contre -8 % au premier semestre, ce qui impacte sensiblement les résultats globaux, nous explique Jean-Pierre Crouzet, président de l’UPA. Quant au bâtiment, il enregistre également une baisse sensible -2,5% contre -3,5 % au premier semestre 2015. »

En outre, on observe une assez forte disparité selon la taille des entreprises : plus l’entreprise est petite, plus elle concentre des difficultés. Ainsi, les entreprises sans salarié enregistrent un recul de 3,5% de leur chiffre d’affaires, contre seulement 0,5% pour les entreprises de 10 salariés et plus, souligne avec inquiétude Jean-Pierre Crouzet. « Rappelons que 97 % des entreprises de moins de 50 salariés vivent les difficultés quotidiennes de l’emploi, de l’activité et de la baisse des carnets de commandes », commente-t-il. Il est difficile pour artisans de rivaliser aujourd’hui avec des majors du BTP de plus de 500 salariés où la concurrence déloyale et le détachement des salariés perdurent ! »

Et ce n’est pas tout, la trésorerie des entreprises de l’artisanat et du commerce de proximité s’est à nouveau dégradée durant l’été, selon 28% des chefs d’entreprise interrogés tandis que 12% ont constaté une amélioration. « C’est donc en toute logique, que les artisans et commerçants se montrent pessimistes concernant leur activité pour la fin de l’année, et ce quel que soit le secteur concerné », ajoute Pierre Crouzet.
L’indicateur de l’emploi est également à la traîne

Outre l’activité et la trésorerie, l’indicateur de l’emploi est également à la traîne : « 2015 est la quatrième année d’affilée de baisse du nombre d’entreprises qui ont embauché au moins un salarié (calculé sur le premier semestre de chaque année) », explique le président de l’UPA. Seuls 10 % d’entre elles ont recruté au premier semestre 2015. « L’emploi reste un sujet préoccupant. Nous avons encore alerté la ministre du Travail ce matin « , indique Jean-Pierre Crouzet. D’après lui, les embauches s’opèrent en majorité en CDD et sont proportionnellement en forte augmentation au détriment des contrats de professionnalisation et des contrats d’apprentissage en pleine dégringolade. « C’est justement le recul de l’apprentissage le fond du problème, déplore Jean-Pierre Crouzet. Comment cela se fait qu’il faille six mois aux jeunes apprentis allemands pour tester l’entreprise alors qu’en France c’est seulement 45 jours ? C’est pourquoi je refuse de condamner le jeune apprenti. C’est au Gouvernement de réagir et de se poser les bonnes questions. »

Par ailleurs, d’après l’UPA, les conditions de travail expliquent la dégradation des relations employeurs-salariés. En chiffres, 40 % des artisans et commerçants se plaignent d’un problème de comportement de leurs salariés. « Effectivement, cela illustre un manque de motivation de leurs nouveaux collaborateurs », poursuit-il. Enfin, les artisans interrogés ne montrent aucun engouement sur la politique menée par le Gouvernement : 63 % d’entre eux signalent que le Crédit d’impôt compétitivité emploi (Cice) ne répond pas aux besoins de leur entreprise.

« Ces chiffres sont révélateurs de la crise de confiance qui existe chez nos artisans à l’encontre de l’Etat », conclut le président de l’UPA. Ils illustrent ainsi le résultat d’une politique économique qui, au-delà des discours et des belles promesses, continue de privilégier les grandes entreprises en proie aux plans sociaux au détriment des PME et des TPE qui concentrent pourtant le plus fort potentiel de création d’emplois. La contrainte du Droit du travail est également forte sans compter qu’aucune décision n’est prise. »

source : biactu Les artisans du bâtiment broient du noir

21
Oct

En 1985, le materiel électrique était sensiblement différent de celui de 2015. Inventaire.

Voilà 30 ans que tout le monde t’attend Marty. Et nul doute que ce qui va le plus te surprendre, c’est l’évolution du matériel électrique.
Avant toute chose, CA2E n’existait pas en 1985. Ce n’est qu’en 1988 que Monsieur Bernard Dufossé créera à Compiègne une entreprise de gros en matériel électrique. À cette époque, l’électronique est à la mode et commence à envahir le quotidien de tous les français. C’est pour cela qu’il l’appellera CA2E : Centrale d’Achat en Electricité et Electronique. C’est aussi un clin d’œil à un produit phare de la fin des années 80 : le contacteur Télémécanique CA2-E.

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16
Oct

Domotique, objets connectés : des risques à mesurer

Objets connectés, applications numériques: le nombre de matériels électriques va croissant. Certains ne sont pas sans danger. Par Richard Chery, Président du GT Surveillance du marché de la FIEEC (Fédération des Industries Electriques, Electroniques et de Communication) et Président de la FGME (Fédération des Grossistes en Matériel Electrique)

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15
Oct

Électricité sans fil : le Japon envoie 1800 watts à 55m de distance

Aura-t-on un jour une centrale d’électricité à 36 000 km au-dessus de la tête ? En course contre Airbus Defense & Space et contre la NASA, l’agence spatiale japonaise a annoncé avoir franchi une première étape expérimentale en réussissant à transférer 1,8 kilo-watts sur 55 mètres.
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12
Oct

Amendement 5 : les nouveautés de la NF C 15-100

L’amendement 5 à la NF C 15-100 modifie la norme en ces termes :

  • Suppression de la partie 7-771 (plus applicable à compter du 27/11/2015),
  • Suppression de la partie 7-772 (plus applicable à compter du 27/11/2015),
  • Evolution de la partie 7-701 «Locaux contenant une baignoire ou une douche»,
  • Création d’un nouveau Titre dans la norme en complément des Titres 1 à 7 : Titre 10 – « Locaux d’habitation ». Ce titre est composé de deux parties : Lire plus +
9
Oct

Linky inquiète les électrosensibles

Le prochain déploiement du compteur électrique communicant Linky inquiète les personnes souffrant d’hypersensibilité aux ondes électromagnétiques. La Direction générale de la santé a saisi l’Agence nationale de sécurité sanitaire de la question en demandant une synthèse sur les effets sanitaires associés à une exposition liée aux compteurs intelligents.

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8
Oct

Le magicien officiel de CA2E : William WATT.

Avec un nom pareil, la rencontre avec CA2E était inévitable
William Watt est un magicien mentaliste nouvelle génération : un mélange unique d’élégance, d’humour, de charme décalé et insolent…

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7
Oct

Domotique : les métiers de demain

Avec un chiffre d’affaires de près de 900 millions d’euros en 2014, le marché de la domotique affiche une bonne santé. Si les fabricants et les revendeurs des objets de la « maison intelligente » sont connus depuis une vingtaine d’années, en revanche les métiers de ceux qui les dépannent et assurent leur maintenance peinent à se faire un nom.

S’il tarde encore à s’imposer dans le secteur tertiaire, le marché de la domotique demeure toujours bien implanté chez les particuliers. « La France est ainsi, à l’heure actuelle, deuxième sur le marché de la domotique en Europe, avec un chiffre d’affaires de 900 millions d’euros en 2014″, nous rappelle François-Xavier Jeuland, président de la Fédération française de Domotique (FFD) et ingénieur-conseil spécialisé en smart home et smart building.

« Et la tendance domotique va s’accentuer ces prochaines années, les personnes fragiles et leurs proches souhaitant être rassurées à travers des installations de télésurveillance et de sécurité, ajoute-t-il. Autre constat, les jeunes commencent eux aussi à s’intéresser au phénomène avec la gestion de l’énergie ou encore le contrôle des objets à distance. »

« Plus que la domotique, c’est l’immotique, qui a de l’avenir »

Au final, plus que la domotique, c’est l’immotique, autrement dit l’application de la domotique à des immeubles entiers qui semble promise à un bel avenir, confirme-t-il. « Avec la Gestion technique du bâtiment, on voit bien qu’on a une activité qui marie haute technologie et souci d’économies d’énergie, notamment », signale l’ingénieur-conseil.

La Fédération observe aussi que les fabricants et les revendeurs de matériel domotique sont donc, logiquement, plus nombreux qu’autrefois. « Nous ne disposons pas encore de chiffres très fiables car nous sommes présents sur une douzaine de filières mais nous pouvons dire que le nombre de professionnels formés et compétents se développe très rapidement, ajoute-il. Deux cas de figure se présentent dans notre métier, soit l’artisan (électricien, chauffagiste) qui se forme à la domotique, soit l’intégrateur qui maitrise l’ensemble des technologies liées à l’habitat connecté. »

Globalement, titulaire d’un BTS ou d’une licence professionnelle, le domoticien – dont le premier salaire débute aux alentours de 1.580 euros net- doit se former tout au long de sa carrière pour rester à la pointe des innovations, s’accorde à dire la FFD.

« Après avoir cerné les besoins du client (porte automatique, régulation du chauffage, système d’alarme…), le domoticien lui propose des solutions en lui expliquant bien les conditions d’utilisation et le coût du dispositif », ajoute-t-il. Ce qui se traduit, justement, par l’élaboration d’un devis.

Une fois l’installation du matériel supervisée, le domoticien procède en général lui-même à sa mise en service et assure également un suivi auprès de l’utilisateur. « Au moindre dysfonctionnement, il envoie sur place des agents de maintenance et répertorie soigneusement les informations qu’ils lui font remonter », ajoute-t-il. Dans les cas les plus complexes, il se déplace lui-même pour effectuer un diagnostic.

« Des métiers liés à un domaine auxquel on ne pense pas toujours : ceux autour de la maintenance et de la réparation des objets de domotique »

Avant de reconnaître : « Effectivement, il existe des métiers liés à un domaine auxquel on ne pense pas toujours : ceux autour de la maintenance et de la réparation des objets de domotique ! »D’autant plus que la domotique appelée aujourd’hui « 2.0 » continue d’évoluer très vite sur le marché de la construction.

« Des volants roulants aux portails motorisés en passant par les alarmes, la domotique n’est pas nouvelle et la demande existe depuis une vingtaine d’années, rappelle François-Xavier Jeuland.Toutefois, depuis désormais cinq ans, on observe une accélération réelle et une diversification autour du matériel sans fil, dit connecté, que l’on commande depuis un smartphone ou une tablette. »

De son côté, Didier Rousvoal, expert en domotique depuis 28 ans, s’est aussi aperçu que le SAV de ces nouvelles technologies était légèrement laissé pour compte. C’est pourquoi, en 2013, il crée SOS Domotique : une société spécialisée dans l’installation et dans le dépannage des contrats de maintenance, relatifs aux différents dispositifs domotiques équipant les bâtiments.

« En constatant que les particuliers sont confrontés à des problèmes d’installation, parfois, mais de maintenance surtout, les fabricants font de temps en temps appel à nous », poursuit Didier Rousvoal dans un communiqué. Ce modèle économique, associant vendeurs à distance et installateurs et réparateurs locaux, va dans le bon sens signale la Fédération.

« C’est sur ce sujet-là notamment de la sécurité, que nous devons être irréprochables vis-à-vis des particuliers, ajoute à son tour François-Xavier Jeuland. Au-delà de la maintenance et de la réparation, c’est aussi ce travail-là que nous, professionnels, devons accomplir : les sensibiliser à la meilleure manière de se protéger par exemple contre le piratage informatique. »

Davantage de formation

Fort de ce constat, la profession de la domotique reconnaît qu’il faut former davantage les fabricants et les revendeurs à la domotique 2.0 sans compter les conseillers de vente notamment dans les Grandes surfaces alimentaires (GSA)et Grandes surfaces de bricolage GSB (BAC+2 et BAC+3). « Si l’on pense que ces produits vont se vendre comme des cafetières ou lave-linge, on se trompe forcément, aime à répéter le président de la Fédération française de Domotique. C’est pourquoi, nous sommes rassurés que les GSA et GSB soient convaincues que les points de ventes doivent être améliorés grâce à une bonne expertise de leur force de vente. Aujourd’hui, ces conseillers de vente deviennent réellement des consultants en la matière. »

Autre constat sur ce marché de la maison intelligente : les nouveaux arrivants sont d’une génération qui a grandi avec cette nouvelle technologie. « C’est pourquoi après deux à trois années d’expérience, le technicien installateur doté d’un BTS Domotique, ira vers la programmation Smart Home », complète-t-il.

Avant de conclure : « Si ces métiers-là sont encore fragiles, la nouveauté de la profession est aussi l’intégrateur, issu de l’univers informatique, Hi-Fi, mais aussi électrique et multimédia. C’est alors à nous, en tant que Fédération, de les faire connaitre auprès du grand public et de mettre en avant leurs compétences. »