5
Oct

Préparez-vous à ne pas être surpris !

Pannes de courant – Que faire?

Avec le dérèglement climatique, faudra-t-il un jour se préparer à connaitre des hivers aussi rigoureux qu’au Canada ? Voici une publication produite par la sécurité publique du Canada qui met en garde la population sur les risques de coupure de courant.

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2
Oct

La nouveauté Atlantic de la rentrée : Les radiateurs connectés.

Aujourd’hui, dans les maisons, tout tend à devenir connecté ! Les objets connectés font de plus en plus parler d’eux : lunettes, montres, caméras … La maison connectée est en effet une solution simple pour allier confort et économies. Ainsi, en matière de chauffage, après les thermostats connectés, voici donc que débarquent des radiateurs électriques connectés issus du groupe Atlantic (marques Atlantic, Thermor, et Sauter).

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1
Oct

L’électricité, un jeu d’enfant

Une ONG américaine a installé dans des écoles africaines des tourniquets produisant de l’électricité quand les enfants les font tourner.

Article de Mon Quotidien (France)

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24
Sep

Solutions Theben de régulation des éclairages nocturnes des bâtiments non résidentiels

Pour une gestion de l’éclairage nocturne des vitrines et bâtiments non résidentiels permettant aux entreprises et collectivités de réaliser des économies d’énergie et de préserver l’environnement, conformément à l’arrêté du 25/01/2013 : horloges astronomiques et détecteurs de présence/mouvements.

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22
Sep

Améliorer son confort avec les radiateurs électriques Acova

Les familles participant à l’Expérience Confort Acova considéraient que la chaleur émise par leurs anciens convecteurs et panneaux rayonnants était instable et localisée. Après 3 mois d’utilisation de leurs nouveaux radiateurs électriques Acova, les familles sélectionnées témoignent sur leur confort et qualité de chauffe :
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19
Sep

Cette table régule la température ambiante sans électricité

Et si demain nous vivions dans un monde « sans électricité » ?
Inventé par deux Français, ce meuble absorbe la chaleur excessive et la restitue quand nécessaire.

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18
Sep

Bâtiment : la reprise sera-t-elle pour cette fin d’année ?

Si le bâtiment s’attendait à une reprise de l’activité dès cet été, il semble que le secteur doive encore patienter. Néanmoins, les acteurs se montrent optimistes sur les prochains mois, en s’appuyant sur certains facteurs comme le dynamisme du crédit et les ventes des constructeurs de maisons individuelles. Décryptage.

Le secteur du bâtiment doit encore s’armer de patience… S’il pensait voir le bout du tunnel début juillet, la sortie de crise se fait encore désirer : « Le bâtiment connaît une crise plus profonde et plus durable que les précédentes. Amorcée il y a huit ans, elle n’a pas encore atteint son terme« , admet Jacques Chanut, président de la Fédération française du bâtiment (FFB).

Ainsi, sur les sept premiers mois, les autorisations de logements neufs sont en recul de 7,9% et 5,8% pour les mises en chantier. Sur 2015, le nombre de logements commencés devraient atteindre 334.000, contre 355.000 en 2014. On est donc loin de l’objectif des 500.000 logements par an, annoncés par François Hollande lors de la campagne présidentielle. De plus, le marché de l’amélioration-entretien ne parvient pas à décoller. D’ailleurs, comme le note Jacques Chanut, « le Crédit d’impôt pour latransition énergétique (CITE) est encore mal connu des clients. Une tendance qui résulte d’un décalage entre l’annonce et la mise en place » du dispositif.

Destruction de 44.600 postes

Concernant les emplois, la conjoncture n’affiche, là non plus, pas d’embellie dans l’immédiat : « Le premier semestre affiche le plus mauvais score enregistré depuis l’entrée dans la Grande récession de 2008 : avec l’intérim en équivalents temps plein, 44.600 postes de travail ont été perdus entre les premiers semestres 2014 et 2015, soit -3,8%« , indique la FFB. Autre chiffre négatif : les défaillances d’entreprises : « Malgré une nette baisse au deuxième trimestre, elles progressent encore de 2,4% en glissement annuel sur l’ensemble du premier semestre 2015« , déclare Jacques Chanut.

Une amélioration à l’horizon 2016

Malgré tout, la FFB voit dans plusieurs indicateurs « une possible, voire probable, accélération à venir« , souligne Jacques Chanut. Une réflexion qui s’appuie sur le dynamisme du crédit immobilier, mais aussi les ventes des constructeurs de maisons individuelles ou des promoteurs, qui augmentent au premier semestre de 20% en glissement annuel. Autant de facteurs qui pourraient avoir un impact sur début 2016. Toutefois, la FFB avertit : « Il va falloir que nos entreprises encaissent cette reprise par rapport aux assureurs-crédit et aux négociants-fournisseurs. Comme les trésoreries sont vides, il faudra partager le risque crédit entre tous« , tient à préciser Jacques Chanut. Ce dernier préconise également de soutenir la reprise notamment en étendant le CITE aux résidences secondaires.

18
Sep

Architecture : les députés votent un abaissement du seuil à 150 m2

Plus de 150 d’amendements ont été adoptés par les députés au cours de l’examen du projet de loi sur « la liberté de la création, l’architecture et le patrimoine » par la commission des Affaires culturelles. Celui qui prévoit d’abaisser le seuil à partir duquel un particulier doit recourir aux services d’un architecte, de 170 à 150 m² de surface de plancher de la construction concernée, fait l’unanimité chez les architectes. Pourtant rien n’est gagné, clament-ils. Explications.
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16
Sep

ALDES T.Flow Hygro + : combiné chauffe-eau thermodynamique et ventilation hygroréglable

T.Flow Hygro + est le chauffe-eau thermodynamique sur air extrait le plus silencieux, le plus fin et le plus performant du marché. Il concilie qualité d’air intérieur et eau chaude sanitaire, tout en réalisant d’importantes économies d’énergie.
Destiné à répondre aux besoins d’une famille de 2 à 6 personnes, le T.Flow Hygro + est adapté au marché du neuf et de la rénovation, en maison individuelle et logement collectif.

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14
Sep

Et si l’on surfait sur Internet grâce à la lumière ?

Le LiFi (pour « light fidelity ») haut débit est pour bientôt. Imaginée comme une alternative aux omniprésents réseaux WiFi, cette technologie utilisant la lumière pour envoyer et recevoir des informations débute son déploiement opérationnel dans le siège social du promoteur Sogeprom. Explications avec Frédéric Granotier, le pdg de Lucibel, et Edouard Lebrun, le directeur du développement.

La technologie de transmission des données par la lumière, dite LiFi, réalise un bond quantique : depuis les prémices en 2012, où elle n’était qu’une liaison descendante à bas débit, elle est aujourd’hui sur le point de venir concurrencer le WiFi. Pierre Sorel, le directeur général de Sogeprom (groupe Société Générale), est enthousiaste : « C’est une technologie assez extraordinaire qui va vraiment révolutionner notre façon de communiquer, de la même façon que l’ampoule d’Edison a révolutionné la perception de la lumière en remplaçant les bougies« . Le promoteur immobilier croit tellement à cette innovation qu’il teste déjà deux luminaires communicants dans son actuel siège à la Défense et qu’il en équipera six salles de réunion dans son futur QG actuellement en construction.

« Les avantages sont multiples« , assure-t-il, mettant en avant de nouveaux usages et de nouveaux modes de fonctionnement dans un espace tertiaire du 21e siècle. « D’un système Lifi à bas débit, nous passons à un luminaire haut débit« , raconte Frédéric Granotier, le président directeur général de la startup Lucibel qui a développé le dispositif. Pionnière des solutions d’éclairage LED, et partenaire de Schneider Electric dans la société SLMS, qui propose des dispositifs communicants à bas débit, la jeune pousse passe à la vitesse supérieure. « Nous avons levé des capitaux en Bourse au mois d’avril pour assurer notre développement, et nous avons maintenant 200 salariés« , poursuit le p-dg. « Sogeprom est notre premier client, mais la solution sera commercialisée dans les prochains mois. Les applications seront nombreuses, et cette technologie est promise à un bel avenir« .

Dix fois plus de débit qu’un Wifi

Edouard Lebrun, le directeur du développement de Lucibel, précise : « Il s’agit d’une liaison bidirectionnelle à haut débit qui permet de tenir une conversation Skype avec un collaborateur« . Techniquement, le luminaire à diodes est installé de façon classique dans le faux-plafond et relié à un câble Ethernet (RJ45) avec capacité POE (Power over Ethernet). Ce dernier lui transmet à la fois la puissance électrique (pour l’éclairage) et les datas (pour la connexion Internet). Les informations sont transformées en impulsions qui sont traduites par des variations de fréquence dans le scintillement des LEDs, totalement imperceptibles à l’œil. Un capteur, pour l’instant branché en USB à l’ordinateur ou à la tablette, perçoit et traduit ces variations et recueille les données à haut débit. « Le débit est, pour l’heure, de 10 mégabits/seconde en download et 5-10 Mb/s en upload« , annonce-t-il. Mais des travaux d’optimisation sont d’ores et déjà en cours, et la limite théorique du débit est de 1 gigabits par seconde, soit dix fois la capacité d’un WiFi. En liaison montante, depuis le « device » (ordinateur ou tablette) jusqu’au luminaire, la liaison se fait en infrarouge, pour une question de confort visuel, évitant ainsi la présence d’une diode brillante dans le champ de vision de l’utilisateur.

La solution constitue donc une alternative crédible à ces réseaux aujourd’hui largement déployés. La technologie Lifi haut débit pourrait par exemple convenir pour les lieux où la présence d’ondes électromagnétique n’est pas souhaitée, comme les hôpitaux ou les écoles. De même, l’absence de transmission de la lumière en dehors de la pièce équipée rend les possibilités de piratage du signal inexistantes. Les centres de R&D sensibles, les sièges sociaux et les succursales bancaires (où le Wifi n’est pas déployable) constituent autant de sites potentiellement intéressés par le Lifi. La solution pourrait également être déployée dans des halls d’exposition où les demandes de connexion sont très nombreuses lors d’un événement. Edouard Lebrun explique : « La bande Lifi est 10.000 fois plus large que la bande Wifi. Beaucoup d’utilisateurs peuvent être connectés en même temps à une seule borne« . La portée exploitable des luminaires LEDs est d’environ 10 à 15 mètres, mais, là encore, il serait possible de l’améliorer pour des grands volumes et d’ajuster le diamètre de diffusion de la lumière de façon à la concentrer sur une seule zone. Le surcoût des luminaires communicants se justifiera de lui-même par comparaison avec le budget luminaire plus déploiement de borne Wifi. « La durée de vie, de 30.000 à 50.000 heures est la même que pour les autres LEDs, et la consommation ou le comportement thermique sont également équivalents« , précise-t-on chez Lucibel.

Une technologie prochainement embarquée ?

L’industrialisation de la solution débutera bientôt à Barentin (Haute-Normandie) tandis que les recherches se poursuivent sur une miniaturisation du capteur qui prendra bientôt la forme d’une clef USB, à la façon des clefs 3G/4G. « L’avenir sera l’intégration de la technologie directement dans les appareils (tablettes et portables), dans les années à venir, le temps que les grands constructeurs s’emparent de cette technologie et l’installent en natif« , assure le directeur du développement. Alcatel Lucent préparerait d’ores et déjà un téléphone équipé d’un récepteur Lifi (mais bas débit et uniquement en liaison descendante) tandis que Samsung aurait déposé plusieurs brevets dans le domaine. La société Lucibel espère donc un brillant avenir pour son luminaire.